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Fantastique travail de deux jeunes chercheurs

La transmission du savoir-faire horloger restait jusqu’ici assez obscur, notamment sur toute la fin du XVIIe siècle. Aujourd’hui on sait que les horlogers de l’époque avaient déjà une vraie conscience industrielle.

16 mars 2001, 0h00
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Elle s’appelle Estelle Fallet. Au bénéfice d’une bourse du Fonds national suisse de la recherche scientifique, elle effectue un séjour d’un an à Paris. Lauréate du prix Gaïa «Histoire» décerné par l’Institut l’homme et le temps de La Chaux-de-Fonds, elle poursuit notamment ses recherches dans le cadre d’un doctorat consacré à l’histoire sociale et culturelle de l’horlogerie neuchâteloise au XIXe siècle. Il se nomme Alain Cortat. Il a travaillé comme assistant à l’Université de Neuchâtel et à l’I...
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