24 août 2010, 0h00
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On ressent partout, y compris en Suisse, un malaise lorsqu'un meilleur contrôle des dépenses est envisagé. On est dans une période où le contribuable, de quelque nationalité qu'il soit, veut savoir où passe sont argent. Et le Suisse n'est pas différent des autres. Contrairement aux idées reçues, les impôts directs sont élevés et l'argent trop souvent mal géré pour ne pas dire gaspillé.Partout dans le monde s'attaquer aux déficits publics est devenu une priorité tout simplement parce que même un ...
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