25 février 2009, 0h00
Partager
«Connectez-vous et partagez», qu’ils disaient. La récente mésaventure de Facebook a de quoi conforter les derniers irréductibles qui résistent encore et toujours à l’envahisseur communautaire. Facebook surfe en effet sur la vague de l’internet participatif. Dispenser ses état d’âmes et raconter sa vie privée à sa communauté de «friends» virtuels est devenu, en l’espace de quelques années, un phénomène sociétal inévitable. Mais le site a été pris à son propre piège. L’affaire remonte à quelques a...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT