11 février 2005, 0h00
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On se souvient, il n’y a pas si longtemps encore, d’une Union suisse des arts et métiers frileuse et campée sur des positions passéistes, peu ouverte à l’extérieur et défendant son pré carré. Ce temps-là est loin. C’était sans doute celui où la Suisse, à l’abri dans sa neutralité, vivant sur ses acquis, offrait à ses entreprises et à sa population des conditions cadres que l’on ne trouvait nulle part ailleurs. Après les vaches grasses, ce sont des vaches maigres qui paissent dans nos pâtures. La...
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