16 octobre 2003, 0h00
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La signature d’un accord amiable avec la justice américaine dans l’affaire Executive Life, refusé par l’Etat français, était clairement dans l’intérêt du Crédit Lyonnais, mais pour les anciens dirigeants, qui en sont exclus, et pour Paris, il présentait des risques.
Le Crédit Lyonnais est accusé par la justice américaine d’avoir organisé en 1993 -alors que la banque était publique- le rachat de l’assureur californien en faillite Executive Life par «portage» illégal, c’est-à-dire avec un prête-n...
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