20 octobre 2004, 0h00
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Vers le milieu des années 1990, les autorités politiques suisses se sont rendu compte de la nécessité de soumettre les intermédiaires financiers à un contrôle comparable à celui exercé pour les activités bancaires, a expliqué hier Norberto Birchler, directeur de l’Association romande des intermédiaires financiers (ARIF), lors d’un point de presse à Genève. Le système d’autorégulation, sur l’exemple de l’Association suisse des banquiers (ASB) – devenue depuis SwissBanking – est rapidement apparu ...
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