05 mars 2013, 22h41
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Depuis la deuxième moitié des années 1990, le degré d’instruction des immigrés en Suisse a profondément changé. Avant, ils manquaient de formation professionnelle. Moins d’un cinquième d’entre eux étaient porteurs d’un diplôme d’études supérieures. Aujourd’hui, c’est le contraire. Au point que l’on parle de «nouvelle immigration».
George Sheldon, qui dirige la Forschungsstelle für Arbeitsmarkt und Industrieökonomik (FAI) à l’Université de Bâle, et Nathalie Ramel, doctorante, se sont...
George Sheldon, qui dirige la Forschungsstelle für Arbeitsmarkt und Industrieökonomik (FAI) à l’Université de Bâle, et Nathalie Ramel, doctorante, se sont...
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