28 décembre 2004, 0h00
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Les investisseurs boursiers s’attendent à voir la place paneuropéenne Euronext financer sans grande difficulté une surenchère dans la bataille pour racheter la Bourse de Londres, malgré sa capitalisation deux fois inférieure à celle de sa rivale Francfort.
Pour l’emporter, Euronext devra lever des capitaux considérables, car sa trésorerie ne dépasse pas 200 millions d’euros, contre 600 millions pour la Deutsche Börse, qui a mobilisé ses banquiers et proposé le 13 décembre deux milliards d’euros...
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