16 juillet 2003, 0h00
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Les ministres des Finances de la zone euro ont donc, sans surprise, retourné à Jacques Chirac la monnaie de sa pièce: pas question d’assouplir le Pacte de stabilité pour relancer la croissance. La réponse était attendue. Non seulement la France n’a fait connaître que très tardivement sa proposition mais elle n’aurait eu de chance que si la démarche avait été concertée avec l’Allemagne, autre pays de l’Eurogroupe dont le ménage public ne respecte pas les critères que ses experts ont imposés en éc...
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