Levi Sergio Mutemba
L'Agefi - Journaliste
12 novembre 2004, 0h00
Partager
«Le dollar est trop bas et cela ne correspond pas à l’état des différentes économies», déclarait mercredi le premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, quelques heures après que l’euro eut franchi le seuil symbolique de 1,30 dollar pour la première fois de son histoire. Aujourd’hui, les grands argentiers du Vieux Continent étudient donc sérieusement la possibilité d’une intervention sur le marché des changes.
Le ministre italien de l’Economie Domenico Siniscalco a été le premier à inviter ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT