18 novembre 2005, 0h00
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Lundi va commencer l’une des plus délicates opérations diplomatiques menées en Europe ces cinquante dernières années puisque, si elle échoue, les horreurs d’un nationalisme exacerbé (massacre et épurations ethniques) risquent de revenir en force. C’est ce qu’a laissé entendre le président de la Serbie Boris Tadic, le 23 septembre, dans un article du «Wall Street Journal». Il vaut la peine d’en traduire un paragraphe particulièrement impressionnant.
«Les Etats-Unis et l’Europe doivent se rendre ...
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