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Et si le pire était à venir?

Horlogerie. Nathalie Veysset, CEO de Montres DeWitt, n’exclut pas que les dégâts les plus importants pour la branche pourraient encore survenir.

27 novembre 2009, 0h00
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Regard cristallin, yeux ensorceleurs, sourire irradiant. De Nathalie Veysset, CEO de Montres DeWitt, émane un charme naturel. Et une sérénité apaisante, malgré le tsunami que traverse l’industrie dans son ensemble. La directrice générale de la société genevoise basée à Meyrin, une des seules femmes à ce niveau dans la branche, reste philosophe face aux tourments. Et, fait encore plus rarissime dans l’horlogerie, délivre quelques chiffres sur la marche des affaires de l’entreprise. Une ouverture ...
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