12 juin 2003, 0h00
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Le CSG désinvestit à tour de bras. En janvier, Pershing pour 2 milliards de dollars, hier, l’assureur anglais Churchill pour 2,4 milliards de francs, et auparavant les filiales d’assurance en France et en Autriche, les participations dans Swiss Re et Swiss Life.
Certains désinvestissements sont plus symboliques que d’autres. Ils dépassent l’avantage immédiat d’un apport opportun de liquidités ou d’une augmentation de la marge de manœuvre stratégique. C’est le cas de Churchill, une société cré...
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