10 novembre 2004, 0h00
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Deux des trois employés des Nations unies enlevés le 28 octobre à Kaboul ont pu téléphoner à des proches, tandis que plusieurs responsables ont fait part mardi de leur «optimisme» tout en restant prudents, et un porte-parole des ravisseurs a fait état de nouvelles négociations. – (afp)
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