24 février 2010, 0h00
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La dernière décennie a été détestable sur le plan des rendements financiers. En fait, l’avidité des sphères financières est responsable de ce résultat. Cette avidité a été motivée par l’énormité des sommes disponibles arrivant sur les marchés du fait, entre autres, de l’accumulation des capitaux dans les caisses de prévoyance. Le baby boom (1945-1953) arrivait à sa phase de pleine maturité question salaire et contribuait largement à l’afflux gigantesque de ces capitaux.
Dans la foulée, la distr...
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