09 février 2004, 0h00
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C’est toujours la même vieille rengaine. Sur le banc des accusés, le criminel promet de changer sa conduite pour s’assurer une sentence plus légère. Mais aussitôt relâché, les belles promesses s’envolent.
C’est ce qui semble s’être passé avec la promesse faite par Ericsson de modifier son système de double vote, qui permet à la famille Wallenberg et à son allié Industrivården de contrôler 80% des droits de vote, alors qu’ils ne détiennent en fait que 5% du capital.
Le fabricant d’équipement té...
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