23 novembre 2001, 0h00
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Services industriels allemands, E.ON, comme son rival germanique RWE, se sent très sûr de lui. Les deux entreprises sont juchées sur un énorme paquet de liquidités. Elles ont procédé à des séries d’acquisitions ces derniers dix-huit mois et en veulent encore plus. Le fait que rares sont celles qui ont créé de la valeur n’importe que peu, car seule la puissance est maîtresse. Le directeur général d’ E.ON, Ulrich Hartmann, va même jusqu’à affirmer avec fierté qu’il peut encore dépenser 40 autres m...
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