23 juillet 2007, 0h00
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Pratiquement tous les commentateurs s’accordaient à dire, avant même les élections de ce week-end, que la question n’était pas de savoir si Recep Tayyip Erdogan, chef du Parti pour la justice et le développement (AKP), et premier ministre, allait gagner, mais avec quelle marge il pourrait célébrer sa victoire. Question qui n’était pas anecdotique. Depuis 1983, date de la restauration de la démocratie dans ce pays, les élections d’hier comptent parmi les plus importantes pour l’avenir de ce pays....
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