01 juillet 2004, 0h00
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La transparence est une bonne chose. La semi-transparence peut être considéré, en revanche, comme un élément de confusion. Tel est le dilemme des éventuels investisseurs, prêts à souscrire aux 6,5 milliards de dollars de nouveaux titres américains émis par des fonds de capital-risque. Ces sociétés gagnent de l’argent grâce à l’introduction en bourse d’entreprises dans lesquelles elles ont investies, soit par le biais d’opérations de mezzanine ou de buyout.
Souvent ces sociétés de capital-risque...
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