16 avril 2008, 0h00
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«Il faut enterrer les lignes à haute tension.» Une motion déposée par Jean René Fournier, membre de l’Exécutif valaisan et conseiller aux Etats, cosignée par 27 de ses collègues et un postulat de Rudolf Rechsteiner, conseiller national socialiste de Bâle, exigent davantage d’études approfondies et de la circonspection avant de les édifier en plein air. Principal visée, en Suisse romande, la société EOS, bloquée dans la construction de ces autoroutes électriques, réagit. Le point avec son directe...
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