22 juillet 2003, 0h00
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Tout le monde aime avoir de bons voisins, surtout le Portugal dans la mesure où il n’en a qu’un. Pourtant, jusqu’à aujourd’hui, ses relations avec l’Espagne des entreprises ont été tièdes, au mieux.
Lisbonne a joué la carte nationaliste lorsque la plus grande banque espagnole a tenté d’acheter 40% de l’empire financier Champalimaud. Probablement, le Portugal redoutait-il alors de devenir ce qu’est la Belgique à la France. Quatre ans plus tard, toutefois, le Portugal fait preuve de plus de confi...
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