05 mars 2007, 0h00
Partager
Avant un sommet européen dédié à l’énergie, une étude critique l’angélisme de la Commission européenne et estime que seul un vrai marché unique européen permettra de dépasser les compromis nationaux où se disputent compétitivité, environnement et sécurité. «Dans la mesure où la communication de la Commission ignore ces compromis, elle n’apporte pas la base d’une évaluation appropriée de la question centrale», à savoir le rapport coûts/bénéfices pour chaque Etat membre de la création «d’un marché...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT