29 mai 2001, 0h00
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L’Italie a hâte de vendre une part supplémentaire d’Enel. Cela se comprend: l’entreprise d’électricité est cotée depuis près de deux ans et le nouveau gouvernement aura besoin de privatiser pour tenir ses promesses fiscales. Seul problème: les performances boursières. Le titre Enel s’échange à 15% sous son prix d’introduction, pas de quoi intéresser les investisseurs à une nouvelle émission…
Le marché n’a jamais cru en la stratégie multiservices de Franco Tato: en quoi fournir de l’électricité a...
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