04 juillet 2006, 0h00
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Il suffit de parcourir la presse allemande – et la presse financière – pour mesurer la déception des nominations à la tête d’EADS et d’Airbus de ce week-end. Alors que le premier groupe européen d’aéronautique et de défense fait face à l’une des crises les plus aiguës de son existence, personne n’a profité de sa résolution pour venir à bout de cette bizarrerie managériale qui veut que, pour chaque poste important, un Allemand soit flanqué d’un Français et vice-versa.
Christian Streiff, le patro...
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