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Encore bancal, le consortium Galileo souhaite s’ouvrir aux pays tiers

Malgré les cafouillages au sein des industriels en charge du GPS européen, la Suisse a décidé de se porter candidate.

23 mars 2007, 0h00
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«Tout nouveau retard dans la mise en œuvre de ce projet majeur d’innovation technologique est inacceptable». Hier à Bruxelles, Wolfgang Tiefensee, ministre allemand des transports, et président en exercice du Conseil des ministres a lancé un ultimatum aux huit sociétés européennes retenues pour développer Galileo, le système européen de radionavigation par satellite, concurrent du GPS américain: la société aérospatiale européenne EADS, le britannique Inmarsat, les français Thales et Alcatel, les...
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