En Suisse, les coûts de la congestion du trafic routier représentent 0,2 à 0,4% du PIB, contre 2% en Europe (I)

Le 12 mars prochain, le peuple suisse devra se prononcer sur l’initiative visant à réduire de moitié le trafic routier motorisé dans les dix ans (à compter de la date à laquelle serait acceptée l’initiative). Ce serait un coup très grave porté à notre mobilité et donc à notre liberté d’action. Vouloir remédier à la congestion routière est louable, encore convient-il de le faire de manière équilibrée en réduisant autant que possible, par des moyens appropriés, les coûts qu’elle engendre tout en a...