Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
16 décembre 2003, 0h00
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Les élections parlementaires russes du 7 décembre ont donc, sans surprise, consacré la victoire du parti de Vladimir Poutine, Edinaïa Rossia (Russie unie). Le chœur des vestales de la vertu démocratique a aussitôt entonné son traditionnel couplet pour dénoncer une élection dominée par le parti du président et ses hommes de main issus de l’ex-KGB et d’une administration servile. Le score du parti de Poutine eût-il été encore meilleur qu’on aurait sans hésiter ressorti des cartons les accusations ...
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