04 janvier 2006, 0h00
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En 1996, Robert Shiller, un économiste de l’Université de Yale, prenant en compte l’historique des cours de la Bourse, en a déduit que les titres américains étaient surévalués. Par le passé, quand le rapport cours/bénéfice (PER) était élevé, on estimait que les perspectives de rendement à long terme étaient mauvaises. Mais si l’on se base sur l’indice composite S&P 500, le PER s’élève aujourd’hui à 29, en référence au bénéfice moyen de la décennie précédente. Les titres du S&P 500 devaient dégri...
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