10 mai 2006, 0h00
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Ce sera presque une formalité. En se présentant seule à la candidature à la succession de Joseph Deiss, Doris Leuthard s’est décidée, sans surprise, à ne pas rater le train qui, à ce que tout le monde dit, ne passe qu’une fois pour tout homme ou femme qui aspire à la fonction politique suprême dans ce pays. Son parti, dont l’Argovienne est devenue plus que jamais l’icône, devrait suivre comme un seul homme. Peut-être que les Chambres regimberont un peu plus le 14 juin prochain, date de l’électio...
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