11 décembre 2003, 0h00
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L’investissement dans la biotech, surtout dans de ce qu’il est convenu d’appeler le secteur «early stage», formé des jeunes pousses de l’industrie, celles qui démarrent, est aussi passionnant que difficile actuellement, selon Jean-Philippe Tripet, président du conseil d’administration et directeur général d’Aravis, à Zurich: «Aucun professionnel n’investit dans un nouveau fonds actuellement.»
Parce qu’il doit davantage mettre la main à la pâte, jouer un rôle d’entrepreneur plutôt que d’invest...
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