27 juin 2001, 0h00
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Pour le moment, la prudence est de mise. D’après les commentaires de Benoît Descourtiers, responsable du bureau de Hong-Kong, le principal argument pour être présent sur les trois fonds qu’il supervise semble être le poids de la région dans les indices mondiaux. Négliger le Japon qui représente 10% dans l’indice MSCI World induit un risque de divergence de performance par rapport à cet indice. Il est de même avec le reste de l’Asie qui représente 5% du même MSCI World.
Benoît Descourtiers et son...
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