02 août 2004, 0h00
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Il porte le même prénom que son illustre aïeul. Un signe, dit-on, qui a fait d’Edouard le successeur naturel de François et donc le troisième Michelin a tenir le volant du géant du pneu. Il ressemble à son père mais a montré dès son arrivée quelques velléités de changement au sein de la vénérable maison de Clermont-Ferrand. Une arrivée tonitruante bien malgré lui. On retrouve les circonstances particulières de son intronisation – baptême du feu en fait – dans tous les articles biographiques le c...
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