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Edipresse et Hersant font la paix pour remettre de l’ordre au «Nouvelliste» médias

Les deux ténors de la presse romande ne sont plus chien et chat. L’«arme» de la paix: l’imbroglio qui agite l’actionnariat valaisan du «Nouvelliste».

11 avril 2008, 0h00
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Il y a une année encore, ils se faisaient la guerre. Il ne fallait pas parler à Hersant d’Edipresse, et réciproquement. Aujourd’hui, les mots doux ont succédé aux propos belliqueux. Les deux groupes concurrents sur territoire suisse se donnent la main pour régler ce qu’il faut bien appeler l’affaire du Nouvelliste, un méli-mélo invraisemblable autour du contrôle du journal valaisan qui a dépassé depuis longtemps le stade du burlesque pour rejoindre les délires d’Ubu. En cause, les crêpages de c...
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