12 avril 2006, 0h00
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«La capitalisation boursière ne reflète pas la vraie valeur d’Edipresse.» Le directeur général de l’éditeur lausannois, Tibère Adler, estime que le développement hors des frontières suisses sera porteur à terme. Il en veut pour preuve l’amélioration du bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et frais de lancement (EBITAL), corrigé des charges exceptionnelles comme les frais de restructuration. qui reflète l’amélioration de la rentabilité des magazines lancés à l’étranger. Leur part au ch...
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