06 septembre 2004, 0h00
Partager
En termes de productivité du travail et de croissance, la Suisse se situe souvent en queue de liste dans les comparaisons internationales, alors qu’en matière d’innovation les entreprises helvétiques se situent fréquemment dans le groupe de tête. Comment expliquer un tel paradoxe, s’est interrogé Ueli Forster (lire aussi son portrait en page 20) en guise d’ouverture de la 6e «Journée de l’économie», qui se tenait vendredi à Zurich. Pour le président de la Fédération des entreprises suisses, l’ex...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT