20 novembre 2001, 0h00
Partager
Les rivalités nationales gagnent-elles du terrain au sein d’EADS? Le groupe aérospatial européen tient à réfuter l’idée que ses actionnaires français et allemands sont en désaccord sur la façon de diriger l’entreprise. C’est peut-être encore le cas pour le moment. Mais, il ne serait pas surprenant que le ralentissement de l’industrie de l’aérien ne place la structure bricolée de sa direction sous une forte pression.
La cause de toute cette inquiétude est Airbus, qui est à l’origine de la plus gr...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT