05 décembre 2003, 0h00
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S’il y a un procès, en tant que président, j’irai défendre Artemis aux Etats-Unis, mais nous sommes toujours ouverts à continuer les négociations sous réserve qu’il y ait des gens raisonnables en face de moi.”
François-Henri Pinault, président d’Artemis
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