30 avril 2008, 0h00
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On attendait un afflux de plombiers polonais. Finalement, c’est une vague de banquières allemandes qui a alimenté le marché du travail helvétique. Mieux: depuis l’introduction de la libre circulation des personnes le 1er juin 2002, les craintes d’un déferlement de travailleurs étrangers avec, en parallèle, la mise à l’écart d’une main-d’œuvre suisse n’ont pas été vérifiées. C’est le contraire qui est arrivé. Grâce à l’ouverture des frontières aux citoyens européens (UE/AELE), les travailleurs su...
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