16 août 2006, 0h00
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S’il est un point sur lequel Raymond Aron ne cessait d’insister, c’est bien celui de l’alternative entre victoire et défaite. Le camp qui paraît vainqueur peut perdre sur le long terme, et inversement. Eh bien, dans le cas du Liban, cet avertissement vaut pour les deux parties et il est encore trop tôt pour savoir de quel coté la victoire se trouve. Dans l’intervalle, ne donnons pas dans des jugements simplistes.
Tsahal, entendons-nous dire partout, ne serait plus une armée invincible - la faro...
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