23 mars 2005, 0h00
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Dans n’importe quel pays, le ministre de la Défense aurait déjà sauté. Démissionné de son propre chef ou «à l’insu de son plein gré», peu importe, mais il aurait déjà tourné les talons, rouge de honte de n’avoir pas su défendre avec succès son dernier crédit. Car c’est une première dans l’histoire suisse de voir le Parlement refuser net un crédit d’armement. Du jamais vu, après les centaines de millions votés le doigt sur la couture!
A travers le refus des Chambres, la semaine passée, d’accorde...
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