Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
17 mars 2005, 0h00
Partager
Comme d’habitude, l’ouverture lundi dernier à Genève de la session des droits de l’homme – la 61e du genre – donne lieu à un ballet fébrile de ministres, de communiqués et d’innombrables délégués d’ONG qui se bousculent pour distribuer leurs tracts au quidam. Les uns font des efforts inouïs pour passer inaperçus, les autres jouent des coudes pour se faire remarquer. La presse est aux anges car les journalistes sont plus choyés que jamais: une mention dans un journal vaut de l’or pour des ONG per...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT