16 juin 2003, 0h00
Partager
L’appétit vient en mangeant. Il est encore plus aiguisé lorsque l’on a été privé de bons repas pendant une longue période. C’est ce qui est en train de se passer sur les marchés des actions et les produits qui en découlent.
Il y a encore trois mois, personne ne voulait plus acheter d’actions; la préoccupation portait sur une protection du capital, à tout prix parfois, c’est-à-dire aveuglément. Une fuite dans les obligations était une autre obsession! Ce n’est plus le cas à présent au profit d’u...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT