30 mai 2006, 0h00
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Notre très probable nouvelle conseillère fédérale a expliqué ce nouveau concept dans une interview parue hier dans Le Temps. Il est intéressant: il allie peau d’éléphant et doigté psychologique. Selon elle, en effet, 50% du travail qu’elle accomplira au Conseil fédéral sera psychologique, mais en même temps, pour accomplir un tel travail, il faut avoir une peau d’éléphant. Or, elle en a une! Un nouvel animal politique est donc né, le psychologue pachydermique, c’est-à-dire, si nous comprenons bi...
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