09 octobre 2009, 0h00
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Concurrence exacerbée et crise mondiale aidant, on savait que les exigences auxquelles sont soumises les entreprises pouvaient se traduire en pression supplémentaire sur leurs collaborateurs. Et entraîner des malaises et des maux de haut en bas de l’échelle. Le stress n’épargne d’ailleurs pas non plus ceux qui n’ont pas de travail. Or il semble que les étudiants soient à leur tour victimes de la pression ambiante et qu’ils aient besoin de stimulants. Du moins peut-on traduire ainsi des informati...
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