11 août 2008, 0h00
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La Suisse doit changer d’état d’esprit, affirme Dominik Escher, CEO et cofondateur d’Esbatech. «Aux Etats-Unis, si vous lancez votre propre entreprise et que vous faites faillite, on considère que c’est une chance de faire mieux la fois suivante, constate-t-il. En Suisse, si cela se produit, vous aurez de sérieux problèmes pour monter une nouvelle affaire. J’espère que cette mentalité changera.» D’autant mieux placé pour comparer les deux situations qu’il est lauréat - entre autres - du prix «Sw...
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