19 février 2004, 0h00
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C’est un paradoxe. Dans n’importe quel pays industrialisé, il existe deux actes importants, le budget et le plan de législature. Sauf en Suisse. Dans ce pays, le budget est soit dépassé soit inférieur aux prévisions. Mais tout le monde s’en moque car c’est une habitude et le Conseil fédéral n’a que la marge de manœuvre d’un comptable. Il additionne ou soustrait les dépenses que le Parlement consent. En la matière, le Conseil fédéral a le même statut qu’un boursier communal. Quant au programme de...
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