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Dividendes de la paix financière

La comparaison des objectifs des deux grands groupes bancaires suisses renvoie aux tensions entre raison économique et narcissisme réducteur.

18 février 2011, 0h00
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Un Escher peut en cacher un autre. La communication récente des résultats d'UBS et de Credit Suisse, leur évolution, l'analyse qu'on peut en faire, reflètent les divergences de vue couvrant l'ensemble du secteur.D'un côté, un certain réalisme incarné actuellement par l'enseigne créée au XIXe siècle par Alfred Escher, dirigée depuis 2007 par l'Américain Brady Dougan. Réalisme tenant en un ratio: l'objectif de 15% de rentabilité nette des capitaux propres. Quand bien même ce ratio peut sembler enc...
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