11 octobre 2006, 0h00
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L’ère Greenspan avait fini par donner l’impression d’un one man show, tant le personnage était indissociable de la politique monétaire. Leader charismatique, brocardé pour ses déclarations «ésotériques», Alan Greenspan a cédé, sans remous, sa place à Ben Bernanke. Celui-ci n’a pas caché son intérêt pour l’adoption d’un objectif d’inflation comme pierre angulaire de la politique monétaire, alors qu’Alan Greenspan s’y est toujours montré réfractaire. Un choix qui résume leurs différences. Alan Gre...
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