Discrétion très élaborée

C’est ce que l’on peut appeler une absence remarquée. Voilà de nombreuses semaines maintenant que la Banque nationale ne s’est pas directement manifestée sur le marché des changes. Elle, qui, au moins à une demi-douzaine de reprises l’année dernière, était agressivement intervenue dans le but de limiter tant que possible l’appréciation du franc face à l’euro. La parité se situait alors à 1.50, alors qu’aujourd’hui, l’euro/franc suisse évolue autour de 1,4750. Et selon les opérateurs, elle n’est ...