19 novembre 2009, 0h00
Partager
La question de la responsabilité personnelle des dirigeants de sociétés n’a jamais été autant débattue que depuis les premiers effets de la crise des «subprimes» née aux Etats-Unis. Isabelle Terrapon & Pascal Clerc*
Il est désormais révolu le temps de la confiance sans faille dont faisaient usuellement montre les actionnaires à l’égard de leurs dirigeants. Il ne se passe plus un mois, plus une semaine sans que les médias nous relatent les déboires de nombreux patrons. Souvenez-vous en avril der...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT